Étudiante en grande école, cette madmoiZelle est devenue populaire grâce à son statut de « meuf bonne » et est rentrée dans le jeu du sexisme ambiant, avant d’en payer le prix.
Étudiante en grande école, cette madmoiZelle est devenue populaire grâce à son statut de « meuf bonne » et est rentrée dans le jeu du sexisme ambiant, avant d’en payer le prix.
La deuxième vague attendue est moins celle du Covid-19 que celle de toutes les pathologies mises de côté.